l y a cent ans, le 15 août 1924, était inauguré le pont des Chapelets, l’actuelle structure commémorative qui permet de traverser la rivière Faverel près du Petit Sanctuaire.

À nouveau ce mois­-ci, nous poursuivons avec la proposition que je vous présentais pour cette année dans le cadre de ce billet, celle de nous faire part de moyens que nous trouvons de recevoir et d’annoncer l’Évangile.

À nouveau ce mois­-ci, nous poursuivons avec la proposition que je vous présentais pour cette année dans le cadre de ce billet, celle de nous faire part de moyens que nous trouvons de recevoir et d’annoncer l’Évangile.

Oeuvrant en CHSLD, j’ai la chance de côtoyer ceux que l’on appelle respectueusement « nos aînés ». Dans la mesure où ils n’ont pu ramener de leur vieille maison que les souvenirs d’une vie bien remplie, la plupart se valorisent par un partage de leurs expériences.

À cette question de plus en plus courante, je ne peux pas répondre par oui ou par non. Des précisions sont à ajouter. Ce qui me fait chrétien, c’est ma foi en Jésus, Fils unique de Dieu et fils de Marie de Nazareth, qui a donné sa vie par amour sur la croix et qui est ressuscité. C’est à lui que j’accorde ma confiance et mon obéissance.

Un confrère a eu une influence marquante dans ma vie: il m’a aidé à devenir plus humain, plus détendu, compatissant. De 25 ans mon aîné, il avait connu le monde du travail et le service militaire. Un rassembleur, par sa sagesse et joie de vivre. Louis Raby, aumônier de l’Université d’Ottawa et, tout à la fois, proche des personnes de l’Arche vivant avec un handicap intellectuel.

Lors de mes balades en forêt, mon regard est souvent attiré par les arbres difformes, écorchés et parsemés de nœuds. En admirant ces géants enracinés, je devine leurs combats contre vents et tempêtes.

Il est important de prendre conscience que chaque personne sur terre est appelée, peu importe qui elle est ou ce qu’elle est. Et les appels se font selon les lieux, temps et circonstances.

La question de la mort et de ce qui se passe après suscite beaucoup d’intérêt. Je l’ai constaté en novembre dernier lors d’une session qui a regroupé plusieurs participants et participantes au Sanctuaire Notre­-Dame du Cap.

Il y a quelques années, à Montréal, la rue Amherst fut rebaptisée Atateken, ce qui veut dire «  fraternité » en mohawk. Il faut dire que l’héritage de l’officier britannique, connu pour avoir comploté l’extermination des Premières Nations avec des couvertures infectées à la variole, ne correspond heureusement plus aux valeurs du temps.

Un touriste visite l’Italie. Il arrive par hasard sur un chantier de construction qui fourmille d’ouvriers. Il s’approche de l’un d’eux et lui demande  : « Que faites-vous ? » L’homme lui répond : « Je pose des briques. »

Une autre année nous est donnée pour que nous ayons encore du temps pour réaliser nos projets. Il en est ainsi pour l’Église et la société qui vivent de profonds changements et des défis inédits. Ne sommes-nous pas sur la ligne de départ, à l’orée d’un nouvel âge de l’humanité et de l’Église ?

J’ai vécu un déménagement au tournant de mon adolescence, expérience redoutée par bien des jeunes mais qui fut dans mon cas particulièrement brutale. Déraciné de mon Chibougamau natal à la fin d’un mois décembre, j’ai été rempoté aux antipodes, plus précisément en Nouvelle-Calédonie, dans l’océan Pacifique.

L’Église catholique du Québec est en train de s’éteindre, avons‐nous bien retenu ça ? Les déficits qui explosent dans les paroisses, la disparition des bénévoles et des personnes pratiquantes, les scandales sexuels qui éclaboussent jusqu’aux évêques et dont les règlements porteront le coup de grâce, autant de preuves irréfutables que les marques de la grande noirceur vont enfin s’effacer…

Cette expression, de plus en plus courante, je l’entends souvent durant mon ministère, même de personnes qui prennent de l’âge. Elle est commode pour dire qu’on ne va plus à la messe du dimanche, tout en demeurant attaché au message chrétien et à la religion de ses parents et grands-parents.

Après nous être attardés – avec les émotions positives – sur le premier élément du modèle PERMA, présentant les éléments de la vie heureuse, nous reprenons la suite avec la deuxième lettre, le E, mis pour Engagement.

La Bible est claire : le samedi doit être un jour de repos. Et c’est si important que c’est une question de vie ou de mort : « Quiconque y fera de l’ouvrage sera mis à mort » (Exode 35,2).

Dans la région de Bellechasse, d’où vient ma famille, en s’éloignant du fleuve pour aller dans les Appalaches, on arrive à Saint­-Damien. C’est là que fut fondée, en 1892, la Congrégation des Sœurs de Notre­-Dame du Perpétuel Secours par un prêtre et une laïque.

Alors que de nouveaux projets de loi élargissant l’accès à l’aide médicale à mourir (AMM) émergent sur la scène politique, tant les défenseurs que les adversaires de l’AMM revendiquent la notion de « dignité » pour appuyer leurs positions. Loin d’une simple guerre de mots, le sens que l’on donne à ces derniers témoigne du sens que nous donnons, plus radicalement, à notre existence.

Jeunes mariés, nous avons appris très tôt que, pour des raisons médicales, nous ne serions pas parents, du moins biologiquement. Ce fut pour notre couple une immense épreuve. Et, pour ainsi dire, insurmontable puisque notre union ne put résister à cet écueil.