n 1955, notre revue était à l’apogée de sa diffusion. Depuis, le nombre de nos abonnements connaît une décroissance constante et irréversible. De nos jours, Notre-Dame-du-Cap tire à 15 ?000 exemplaires, un nombre qui continuera à diminuer au cours des années qui viennent. Nous ne reviendrons pas aux années 50. Comment mieux atteindre aujourd’hui les croyants, les chercheurs de sens, les gens qui se posent des questions ?
Au cours de la dernière année, nous avons fait appel à une firme de marketing pour réaliser ce qu’on appelle une démarche de « repositionnement ». Le but : optimiser la portée de la Revue et l’intérêt envers notre magazine.
Il est ressorti de cette démarche, entre autres choses, qu’avec un nom comme Notre-Dame-du-Cap, notre publication pourrait être prise pour un bulletin municipal. Aussi, Notre-Dame-du-Cap, c’est le nom d’un sanctuaire, ce qui peut créer de la confusion, notamment chez les personnes qui ne connaissent pas les lieux ni le magazine : s’agit-il d’une publication qui parle uniquement de ce qui se passe au Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap ? D’une brochure touristique destinée aux visiteurs ? Rien dans le nom actuel n’indique que nous sommes un véritable magazine.
C’est pourquoi nous utiliserons à partir de 2025 le nom La Revue Notre-Dame-du-Cap, qui est aussi plus conforme à notre raison sociale. Quant aux lettres NDC, elles seront notre nouvelle signature visuelle. Des gens disent et écrivent déjà « la revue NDC » pour aller plus vite. Ce sigle figure aussi dans nos adresses électroniques et notre site Web : revue-ndc.qc.ca Mais attention, NDC n’est pas le nouveau nom du magazine; je le répète, il ne s’agit que d’une signature visuelle, d’un logo, quoi.
Regardez bien le numéro que vous avez entre les mains, car hormis celui de décembre qui est un calendrier, c’est le dernier numéro régulier qui aura cet aspect. Vous verrez que celui de janvier-février 2025 aura une maquette graphique rafraîchie, plus aérée et facilitant la lecture. Aucune paire d’yeux ne s’en plaindra!
Ces changements ne sont qu’une partie d’une évolution qui se fera progressivement, en plusieurs étapes, et qui s’étendra sur quelques années. Nous travaillerons aussi sur un nouveau site Web et à notre présence sur les réseaux sociaux, notamment.
Au plaisir de vous retrouver au début de la nouvelle année!
Stéphane Gaudet
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